Art’Tibet Cham Sem a aujourd’hui 20 ans !
C’est une association humanitaire à but non lucratif qui fournit une aide aux collectivités Tibétaines et Himalayennes : écoles, monastères, dispensaires, ou toute structure ayant besoin d’aide pour avancer vers l’autonomie.
Son financement est assuré par les dons et les parrainages.
Elle fonctionne uniquement grâce aux bénévoles.
Art’Tibet Cham Sem n’est impliquée dans aucune activité politique.
Comment Art’Tibet a vu le jour:
Inspiré par la culture tibétaine et profondément touché par le sort des réfugiés tibétains qui traversent de grandes difficultés, un groupe d’artistes commence à lever des fonds à travers des expositions d’art, en vue de soutenir des projets humanitaires. Cette initiative se déroule initialement sous le nom « Artistes pour le Tibet » et devient en 2001 l’association Art’Tibet Cham Sem.
La Charte d’Art Tibet Cham Sem
Les frais de fonctionnement, (webmaster, impression, mailings etc…) sont limités au strict minimum afin que vos dons et parrainages soient envoyés aux communautés dans leur quasi-intégralité.
Les comptes d’Art’Tibet Cham Sem sont gratuitement suivis par Coeos Expertise, commissaire aux comptes, depuis 2001 et sont consultables à tout moment au siège de l’association.
Notre Bureau se compose de :
- Christine de Nercy : Fondatrice et Présidente
- Guy Maisonneuve : Trésorier
- Yolanda Sanchez : Secrétaire
- Anne Hofmann : Secrétaire adjointe
PROJET EDUCATIF
Pensionnat en Inde
Il est situé en Inde sur les contreforts de l’Himalaya, dans la vallée de Kullu, quelques kilomètres avant la ville de Manali. Il s’agit de la région de l’Himachal Pradesh, au sud du Ladakh. Le pensionnat reçoit 340 enfants, garçons et filles à parité égale, ainsi qu’une équipe enseignante de 33 personnes : 16 professeurs et 17 non-enseignants. La vocation de cet établissement original et de grande qualité éducative et humaine est la prise en charge gratuite en internat d’enfants des familles les plus défavorisées, du nord de l’Inde au Ladakh, et ce dans un esprit de paix et de fraternité universelle. La plupart de ces enfants, fils et filles de nomades ou de cultivateurs, n’auraient pas la possibilité d’être scolarisés sans ce pensionnat.
PROJET RELIGIEUX ET CULTUREL
La Nonnerie au Tibet
Le monastère est le point d’ancrage de la culture tibétaine et un lieu de refuge pour les nécessiteux. Traditionnellement, les monastères recueillent des enfants qu’ils nourrissent et instruisent jusqu’à l’âge adulte au sein de la tradition bouddhiste tibétaine. Dans cette perspective, l’association soutient les monastères en Inde et au Tibet. Située dans la région du Kham, la nonnerie a été construite par Chogyur Lingpa, maître bouddhiste tibétain reconnu du XIXème siècle.
Sur les versants d’une montagne que l’on considère comme l’un des lieux de souche de la tradition, la nonnerie fut érigée là où Padmasambhava, qui apporta le bouddhisme au Tibet, demeura avec ses disciples pendant de nombreuses années. Un groupe de 40 religieuses y a établi une petite communauté : la nonnerie.
PROJET EDUCATIF JEUNES
Etudes supérieures
Deux jeunes filles, dont une orpheline, sont à présent en fin de cursus d’écoles d’infirmière, et nous nous apprêtons à financer les études de deux nouveaux jeunes fin 2021. Il s’agira pour eux d’apprendre un métier qui enrichira leur communauté d’origine à leur retour chez eux: nous lançons un appel à toute personne souhaitant accompagner un adolescent dans ses études, ou en apprentissage.
PROJET MEDICAL
Dispensaire en Inde
Art’Tibet Cham Sem apporte son soutien à un dispensaire tibétain à Bir, dans l’Himachal Pradesh, au nord de l’Inde. Son but est d’améliorer la prise en charge médicale des communautés Tibétaines réfugiées et de la population Indienne de la région. De nos jours, les réfugiés tibétains continuent d’arriver du Tibet et nombre d’entre eux s’établissent en Inde, dans le camp de réfugiés de Bir et aux alentours, dans la région de l’Himachal Pradesh. La population de Bir est composée d’environ 10 000 Indiens et Tibétains. Huit monastères tibétains de confession bouddhiste y sont établis. Au total 3000 moines et nonnes réfugiés pratiquent dans ce lieu la culture et la langue du Tibet.
Sous l’égide du gouvernement tibétain en exil, un dispensaire propose des soins médicaux à tous les habitants, et en particulier aux 6 000 réfugiés.